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]]>Tout cela le « FC Hollywood du Rhin » le doit à un club anglais avec qui il entretient un partenariat. Mais qui est ce club anglais ? Et bien il s’agit des Blues de Chelsea. Depuis plusieurs années les londoniens prêtent leurs meilleurs jeunes à l’écurie hollandaise, pour leur permettre d’acquérir de l’expérience dans un championnat au niveau très correct, et cette opération est une réussite. Quinzième en 2011, septième en 2012, quatrième en 2013, sixième en 2014 le Vitesse Arnhem n’a cessé d’évoluer et cela grâce aux Blues et au généreux Abramovitch, qui a renfloué les caisses du club de Arnhem.
L’an passé, pas moins de 7 joueurs ont été prêtés : le latéral gauche Van Aanholt , les milieux offensifs Piazon et Traoré ainsi que l’ailier Atsu. Ses 4 joueurs ont été prêtés 1 an tandis que le français Gaël Kakuta, Cuevas et Hutchinson sont partis durant la trêve hivernale. Les prêts des 3 derniers ne se sont pas avérés concluants au contraire de ceux de Piazon auteur de 11buts et 8 passes décisives, Atsu a lui inscrit 5 buts en 30 matchs disputés. Van Aanholt avait un statut de titulaire indiscutable, quant au plus jeune, Traoré (18ans) il a pris part à 15 matchs et marqué 3 buts.
Les bonnes performances des jeunes ont permis aux hommes de Peter Bosz d’inquiéter l’Ajax durant la première partie de saison en occupant pendant 5 journées la place de leader. Cependant durant la phase retour les jaunes et noirs se sont effondrés au classement en remportant seulement 3 de leurs 11 derniers matchs, décrochant tout de même une place pour disputer les plays-offs pour se qualifier pour l’Europa League, mais les Jaunes et Noirs ont été défaits par Groningen.
Cette dégringolade au classement a suscitée une certaine curiosité, et la déclaration de l’ancien président du club n’a pas aidé. Merab Jordania aurait affirmé aux médias que Chelsea a interdit au Vitesse Arhnem de devenir champion des Pays-Bas. Pourquoi ? C’est simple, une règle interdit à deux clubs liés financièrement de participer à une même compétition. Et « à Arhnem c’est Chelsea qui décide » comme l’avait affirmé Van Leeuwen ancien directeur technique du club. Mais le président du Vitesse, homme d’affaires russe associé d’Abramovitch, Alexander Tsjigirinski a déclaré que les propos de l’ancien président étaient » des mensonges dictés par la jalousie ». Alors qui croire ?
Bien qu’elle soit bénéfique pour la formation de José Mourinho qui récupère chaque année des joueurs plus mûrs qui ont fait le bonheur du Vitesse Arnhem, cette coopération Chelsea-Vitesse connaît ses limites… Et cela se ressent sur les résultats du club, 6 matchs amicaux, 4 nuls, 1 défaite et seulement 1 victoire. Tout les ans le club doit tout reconstruire avec la perte de plusieurs joueurs importants à l’effectif et l’arrivée de nouveaux jeunes. Ce début de saison est d’ailleurs très mitigé pour Vitesse : après 3 journées les coéquipiers du capitaine Kashia pointent à l’avant dernière place avec un seul petit point au compteur, preuve que les performances sportives du club dépendent essentiellement de la qualité des joueurs prêtés par Chelsea. A première vue il semblerait donc que les 3 joueurs prêtés par le club londonien ( Joao Rodriguez, Wallace et McEachran ) n’aient pas le niveau des joueurs prêtés la saison précédente. Et du coup, on se demande si Arnhem jouera les troubles fêtes comme ils l’ont si bien fait les années précédentes ? En tout cas, il faudra passer la vitesse supérieure pour ne pas se laisser distancer par le PSV, l’Ajax et les autres.
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]]>The post Et pour 2016 ? Aymeric Laporte. #3 appeared first on Aile de Pigeon.
]]>Il rejoint à 14 ans l’équipe de l’Aviron Bayonnais en 2009 et c’est certainement là que tout a basculé. Sélectionné pour un match de la sélection d’Aquitaine où il fait forte impression, il est repéré par un recruteur du club espagnol de l »Atletico Bilbao qu’il décide de rejoindre seulement 1 an après être arrivé à l’Aviron.
Malheureusement pour lui une règle interdit aux étrangers recrutés de jouer avant 16 ans il ne pourra donc pas jouer de match et se contentera de s’entraîner avec ses nouveaux coéquipiers.
Il est donc prêté à Baskonia ( Club collaborateur ) en 4ème division espagnole durant la saison 2011/2012 où il joue régulièrement et devient un leader défensif indiscutable à tout juste 17 ans.
Celui qui le lançe dans le grand bain c’est Caparros dans un match amical contre une modeste équipe de la région. Le 28 novembre 2012 restera gravé dans la mémoire de l’espoir français car il joue son premier match officiel et décroche sa première titularisation avec les Basques, lors d’un match à l’extérieur d’Europa League contre l’Hapoel Shmona. Il est de nouveau titulaire en Europa League la journée suivante contre le Sparta Prague une pression supplémentaire s’ajoute cette fois ci car il joue dans la cathédrale de San Mames !
Ses débuts dans le championnat espagnol se soldent par une victoire 1-0 contre le Celta Vigo le 9 décembre 2012 où il se contente d’entrer en fin de match. La saison 2013-2014 est une réelle réussite pour lui si bien qu’il est élu dans l’équipe-type de Liga à mi-saison, le jeune défenseur français Aymeric Laporte (20ans), a séduit la Liga en quelques mois grâce à un jeu de tête facilité par sa taille (1m90 ), une technique surprenante pour un défenseur et une vision du jeu déconcertante.
L’international espoir a tellement impressioné que son nom était évoqué dans la liste de Deschamps, mais il ne sera finalement pas retenu.
Autre preuve de son immense talent, les convoitises du FC Barcelone. Le club Basque étant attaché à sa pépite, Bilbao lui a fait signer un contrat le liant au club Basque jusqu’en juin 2015, avec une clause libératoire de 42 millions d’euros à la clé. En tout cas, on a pas fini d’entendre parler d’Aymeric Laporte.
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]]>The post Et pour 2016 ? Anthony Knockaert. #2 appeared first on Aile de Pigeon.
]]>Le natif de Roubaix a comme eu des problèmes durant sa période au centre de formation. En effet le RC Lens l’ont poussé vers la sortie car ils jugeaient qu’il n’avait pas un toucher de balle extraordinaire, qui fait qu’un jeune peut très vite grimper les échelons. Déception pour Anthony, mais il ne lâchera rien. Il partira de l’autre côté de la frontière lui aussi. Mais la frontière belge, où il jouera en tant qu’amateur. Il reviendra un peu en France avant de partir à Leeds en test. Anthony tape dans l’œil des dirigeants qui souhaitent alors le garder. Problème ? Lens réclame de l’argent. 130.000€. Tout en sachant que Leeds est en galère financière. Retour dans l’hexagone.
Xavier Graveleine le repère à Guingamp. Il le décrit comme un jeune » qui à la rage ». Il fera alors ses preuves à l’En Avant, et parviendra alors à jouer en équipe première. D’abord en National puis en Ligue 2. De plus grands clubs commencent à s’intéresser à lui. Montpellier par exemple. Mais aussi Leicester, en Championship (D2 Anglaise). Au tout début, il est sur le banc, mais l’entraîneur de l’époque, Pearson, lui offre sa chance. Chance qu’il utilise à merveille. 3 matchs, 3 passes décisives. Un quatrième match ? Deux buts exceptionnels.
Mais encore un malheur arrive au pauvre Anthony. Pas de blessures, mais un coup du sort. Demi-finale d’accession en Premier League. Un but qualifierait Leicester pour la finale. On joue la 96ème minute. Il a la balle de match, car il s’apprête à tirer son penalty. Mais il le loupe. Contre attaque fulgurante de Watford. But. Les renards de Leicester sont à terre, ils ne joueront pas pour une place en Premier League cette année. Il part malgré tout avec un titre de meilleur jeune, le maillot blanc du Championship. Et l’amour du public, qui ne veulent absolument pas qu’il soit vendu.
La suite ? Un titre de champion glané une année plus tard et voilà Anthony en Premier League, prêt à se montrer au monde entier. Pour le plus grand malheur du RC Lens. Mais le plus grand bonheur des supporters de Leicester. Et peut-être de Didier Deschamps.
(Anthony Knockaert compte 3 sélections chez les Espoirs avec un but marqué. Il avait auparavant joué avec les U20, où il a notamment mît un doublé lors de France – USA à… Moulins.)
Son parcours a quelques points commun avec celui de Schmid hier : il a du partir du centre de formation, partir à l’étranger, et surtout, s’imposer à l’étranger.
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]]>The post On y était… au match Paris FC – Red Star appeared first on Aile de Pigeon.
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]]>Le monde professionnel…
L’histoire commence en 1969. Paris ne compte alors aucun club professionnel, le PSG n’existant pas encore, un comble pour la capitale ! Le club souhaitait commencer son histoire en D1, au lieu de gravir un par un les échelons, demandant alors au CS Sedan Ardennes une fusion, en vain. Il fusionna donc à l’aube de la saison 70-71 avec le Stade Saint-Germain, promu en D2, pour former le PSG. Le club devint champion la première année, et se maintint en D1 l’année suivante. Mais le Paris FC et le PSG se séparèrent, car la mairie n’acceptait pas que le club puisse jouer autre part qu’au Parc, ce qui était la volonté du Paris FC. Mais le PFC réussit à obtenir les joueurs pros du PSG, ce qui permettait au club de jouer sa première saison en D1. Et le PSG en D3, soit tout l’inverse de maintenant. Dès 1974, le Paris FC descendait en D2, malgré son recrutement de joueurs professionnels. En 1978, le Paris FC revient en D1 suite à sa victoire en barrage face au club de Besançon. Mais le club redescendit aussi tôt ! Mais la saison permit au PFC de battre son record d’affluence au Parc, face à Saint-Etienne. L’année suivante, le Paris FC réalisa une bonne Coupe de France avant d’échouer en demi-finale.
L’équipe en 1975-76.
…avant l’amateurisme
Paris fusionnera avec le Racing Club, pour repartir en D4. (les joueurs de l’effectif professionnel joueront pour le Racing, les jeunes et les joueurs amateurs évolueront sous le PFC 83 ). Ses derniers descendront en Honneur, avant de remonter de deux divisons en deux ans. Les joueurs seront alors plongés en National (oui parce que la D3 est devenue le National, c’est déjà pas facile mais en plus si ils changent les noms des championnats…). Mais en 2000, le club sera relégué en CFA après une triste saison.
l’équipe lors du Paris-Reims de 1982.
Les années 2000
Le PFC ne rejoindra le National que 6 ans plus tard, après quelques saisons passées sur le devant de la scène de chacun de chacun de leurs groupes en CFA. Les ambitions du club sont revenues, et les parisiens souhaitent alors devenir le second club professionnel de la capitale. En 2007, le club finit 6ème du National. En 2008, le club change provisoirement de stade, allant s’installer à Charléty. Le club s’offrira aussi le privilège de battre le Téfécé en 32ème de finale. L’entraîneur référent, Jean Guy Wallemme, quitte le club pour partir diriger les sangs et ors du RC Lens. Le club obtiendra ensuite peu de résultats références, occupant alors la deuxième partie du National durant toutes les années suivantes. A l’issue de la saison 12/13, le club est même mathématiquement relégué, mais la DNCG en décida autrement, en plongeant Le Mans, Rouen et Sedan dans les profondeurs du foot français. Le PFC jouera alors le championnat 13/14 en National, toujours rempli d’ambitions.
La joie des Parisiens après avoir éliminé le Téfécé en 2008.
Le début de saison
Le Paris FC a d’abord cherché à recruter, s’offrant Paillot, ex-joueur de l’OL et de Grenoble. D’autres joueurs sont arrivés, nottament Fofana, ex de Rouen, relégué dans les abysses du foot, au même titre que Sliti, Bongongui et Tchenkoua du CSSedan, rétrogradé en CFA 2. Mais les changements n’ont rien changés au objectifs du club : le Paris FC est septième, avec 4 victoires, 3 nuls et 3 défaites, soit un bilan correct. En attendant la suite !…
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