Le Futebol Clube do Porto est fondé le 28 septembre 1893 par un marchand de vin de Porto, Antonio Nicolau d’Almeida qui grâce à de nombreux voyages sur le territoire anglais découvre le football, à son retour dans la péninsule il décide de créer un club dans l’actuelle 2ème ville du pays, l’hisoire du FC Porto commence. Et quelle histoire ! Fondateur du championnat portugais, il prend part à chaque édition tout comme les 2 clubs de la capitale, le Sporting et Benfica, grâce à cette caractéristique ils formeront Os Três Grandes (  Les trois grands ). Les bleus et blancs sont aussi le club le plus titré du Portugal.

Porto en 1908

Décembre 1981, rien ne va sur les bords du Douro, le FCP est en crise. Un groupe de partenaires se ressemblent pour que Pinto da Costa devienne le président du club . Malgré une longue réflexion il accepte. Pinto da Costa, seul candidat remporte les élections en avril 1982. Il arrive dans un contexte houleux les supporters et la direction sont en conflit, sa première décision est de nommé Pedroto entraîneur de l’équipe fanion.

Sous sa présidence, le FCP va changer de statut et devenir un grand d’Europe, 2 ans après son arrivée à la tête du FC Porto le club se hisse en finale de la Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe, malheureusement le club portugais s’incline face à la Juventus. Le club se relèvera vite de cet échec et remportera 3 ans après la Coupe des clubs champions européens face aux allemands du Bayern de Munich sur le score de 2-1 grâce à une talonnade de l’Algérien Madjer ( ce geste porte désormais son nom ). Dans la même saison les Tripeiros triomphent de l’Ajax d’Amsterdam en finale de la Supercoupe d’Europe et réitèrent cet exploit lors de la Coupe intercontinentale face au  CA Peñarol de Montevideo.

L’algérien Madjer dans toute sa splendeur !

Les années 2000 marque un renouveau chez le FC Porto et ça dès 2000.

Les Dragões prennent une nouvelle dimension avec la construction d’un centre de formation interne ainsi que d’un nouveau stade qui accueillera l’Euro 2004, l’enceinte portera le nom d’Estadio do Dragão ( Stade du Dragon ), l’inauguration aura lieue en 2003. La saison 2002-2003 est une réussite le club remporte  la Coupe UEFA contre le Celtic Glasgow ( 3-2 ). Mais la saison 2003-2004 est encore mieux, les coéquipiers de Deco remporte la deuxième  Ligue des champions de son histoire contre l’AS Monaco ( 3-0 ). Les deux titres ont été remporté sous les ordres du Special One, José Mourinho.
« Merci le Mou’ ! « 

6 saisons plus tard et avec 4 titres de champions le FC Porto se présente avec un nouvel entraîneur, André Vilas Boas, 33 ans celui que l’on surnommera plus tard The Special Two réalise une saison historique avec le FC Porto en réalisant un quadruplé ( Ligue Europa-Championnat-Coupe du Portugal-Supercoupe du Portugal ). Durant cette saison 2010-2011 l’équipe reste invaincue en championnat et bat ainsi le record de points grâce à son trio d’attaque de feu James-Falcao-Hulk.

Depuis cette fantastique saison Porto se montre discret sur la scène européenne et en championnat remportant tout de même la Liga Zon Sagres en 2013 en coiffant au poteau le SL Benfica. Une certaine instabilité s’est installé au niveau du banc de touche, Vitor Pereira n’a séduit personne et en a payé les frais en se faisant renvoyer en cours de saison.Fonseca prend la relève en qualité d’intérimaire jusqu’à la fin de la saison. Pinto da Costa prend le pari d’embaucher l’espagnol Lopetegui ancien sélectionneur U20 d’Espagne qui pourra s’appuyer sur un groupe de qualité …

Qui n’a jamais entendu parler de la cellule de recrutement du FC Porto ?

C’est sans doute la meilleure du monde ! C’est la marque de fabrique du club de Pinto da Costa, recrute un joueur pour une bouchée de pain et le revendre à prix d’or. Les joueurs ayant été révélés sous les couleurs du FCP sont nombreux mais le plus impressionnant c’est que les recruteurs se trompent rarement, les jeunes joueurs recrutés prennent une dimension internationale pour ensuite découvrir les championnats majeurs tels que la BPL, la Serie A, la Liga ou le championnat de France. Tout les ans, le FC Porto se fait piller et beaucoup de monde se dit  » Cette fois ils ne s’en relèveront pas « . Et bien si tout les ans de nouvelles pépites apparaissent, les ressources sembles inépuisables, au grand bonheur de Pinto da Costa. L’argent engrangé par le club du nord du Portugal lui permet d’être un club très sain et de compenser les maigres revenus des droits TV et les primes de titres.
Falcao, un de ceux qui ont pris leur envol à Porto

Le président peut remercier un homme en particulier, Jorge Mendes, sans doute l’agent le plus présent dans le monde. Le portugais est à la tête de la Gestifute c’est à dire la plus grosse usine d’agents, ainsi presque aucun talent ne lui échappe même pas celui du brésilien Hulk recruté en D2 Japonnaise et revendu ensuite 60 millions d’euros aux russes du Zénith. L’affaire du siècle ! Mais des transferts comme celui ci Porto en a déjà réalisé des dizaines.

Cette année encore les Dragons vont perdre leurs meilleurs éléments, Fernando et Mangala sont partis du côté de Manchester City pour 15 et 50 millions d’euros, Jackson Martinez va lui aussi sans doute quitter le navire. Mais fidèle à lui même le FC Porto recrute malin, les espagnols Tello et Adrian rejoignent le groupe ainsi que Casemiro, Martins Indi et Brahimi. Lopetegui pourra compter sur un effectif fourni mêlant jeunesse avec Kelvin, Quintero et Herrera mais aussi expérience avec Helton, Varela et le revenant Quaresma. Une belle saison à venir pour Porto et pourquoi pas retrouver les sommets européens ? À suivre…

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Salzbourg, club autrichien (Austria Salzburg) racheté en 2005 par la toute puissante entreprise Red Bull. En 9 ans, le club a remporté 5 titres de champions et semble écraser de plus en plus la « Tipico Bundesliga », la première division autrichienne. L’équipe n’en est pas à son coup d’essai au niveau européen, puisqu’ils sont souvent amenés à disputer les différents tours préliminaires, mais leur plus beau parcours fut celui de l’édition 2009/2010 de l’Europa Ligue, où les autrichiens ont remporté leurs 6 matchs de poule face au Levski Sofia (Bulgarie), Villaréal (Espagne) et la Lazio de Rome (Italie), se qualifiant ainsi pour les seizièmes de finale, face au Standard de Liège. Ils perdront le match aller 3-2 puis resterons sur un score nul et vierge au retour, qui signifiait alors leur élimination. Avant d’arriver aux barrages cette année, Salzbourg s’est imposé contre Qarabag (Azerbaidjan). Après une défaite 2-1 dans le Caucase, les Autrichiens se sont imposés 2-0 sur leurs terres, grâce à un doublé de Hinteregger.Deux joueurs de l’effectif actuel sont passés par la France : Naby Keita, transféré par Istres et Sadio Mané, du FC Metz.
Le joueur à surveiller : Jonathan Soriano, un espagnol passé par l’Espanyol, Almeria et le Barça B. Le catalan est aussi le meilleur buteur du club autrichien, inscrivant 94 buts en 101 matchs.

Malmö FF, club suédois fondé en 1905. Le club compte 17 titres de champion de Suède et 14 coupes de Suède, ce qui en fait le club suédois le plus titré. L’actuel premier du Allsvenskan (championnat suédois) a lui aussi un passé européen : en 1979, ils se hissent en finale de la Coupe des Clubs Champions après avoir éliminé l’AS Monaco, Kiev, Cracovie et l’Austria de Vienne, avant d’échouer en finale à Munich face à Nottingham Forest. Les ciel et blancs participeront tout de même à la Coupe Intercontinentale de 1979 (actuelle Coupe du Monde des Clubs) suite à la non-participation de Forest. Ils s’inclineront alors face à l’équipe paraguayenne de l’Olimpia (score cumulé : 3-1). A noter que Zlatan a commencé sa carrière professionnelle à Malmö avant d’être transféré à l’Ajax.

Pour en arriver aux barrages, le club suédois dût vaincre Ventspils (Lettonie) puis Prague. Alors que le club avait perdu son match aller 4-2, Malmö inversa la tendance pour s’imposer 2-0 au retour, et se qualifiant grâce à la règle du but à l’extérieur.
Le joueur à surveiller : Guillermo Molins, le suédois d’origine uruguayenne est l’actuel 3ème meilleur buteur du championnat suédois. Il est passé par Anderlecht et le Bétis Seville. En 13 matchs disputés avec Malmö, il porte son compteur à 9 buts.

Ludogorets Razgrad PFC, club qui nous vient de Bulgarie. Fondé en 2001, le club part de quatrième division. Il passera l’échelon supérieur 5 ans plus tard malgré le fait que le club ait remporté plusieurs fois le championnat, faute de budget. En 2010, le club monte en seconde division. En 2010 encore, un homme d’affaire, K. Domuschiev rachète le club dans le but de le propulser au sommet du football bulgare. Chose qu’il réussira puisque la saison suivante, Ludogorets jouera en première division. Domuschiev en veux toujours plus et veut que son club joue les premiers rôles en Bulgarie, il débloquera alors quelques millions pour faciliter le recrutement. Depuis, le club « vieux » de 13 ans a remporté 3 championnats en 3 ans et 2 coupes de Bulgarie. Ludogorets a comme ses deux prédécesseurs un passé européen : un tour de qualification perdu contre le Dinamo Zagreb en 2012,  puis une campagne un peu plus longue l’année passée : après avoir vaincu le Slovan Bratislava et le Partizan Belgrade, Ludogorets affronte Bâle en barrages. Malheureusement pour eux, les Bulgares perdra ses deux matchs mais sera reversé en Ligue Europa. Ils affrontèrent alors le PSV Eindhoven (Hollande),  Odessa (Ukraine) et Zagreb (Croatie) et parviendront à s’extirper de se groupe, remportant 5 matchs sur 6. En 16 ème de finale, ils remportèrent leur duel face à la Lazio (4-3 score cumulé) avant de s’incliner en 8ème face à Valence. Cette année, Ludogorets a pour l’instant disposé de Dudelange (Luxembourg) au second tour puis du Partizan (2-2 score cumulé, règle du but à l’extérieur). Un français joue d’ailleurs au PFC : Alexandre Barthe, natif de Avignon et passé au centre de formation de Saint-Etienne, il joua à Rodez (National) avant d’être transféré à Lovetch (Bulgarie) en 2008 puis à Ludogorets en 2011.

Le joueur à surveiller : Juninho Quixada, un des brésiliens de l’équipe, qui a déjà marqué 3 buts en 4 matchs de championnat.

Slovan Bratislava SK, club slovaque fondé en 1919. Elle est l’équipe la plus titrée de Slovaquie avec 8 titres de champion de Slovaquie, 6 coupes nationales. Le club a aussi remporté 8 championnats tchécoslovaques et 5 coupes de Tchécoslovaquie. Les slovaques ont un beau passé européen, avec un titre reçu de vainqueur de Coupe d’Europe des vainqueurs de Coupe reçu en 1969 après avoir battu le FK Bor (Serbie), le FC Porto, Turin, Dunfermline (Ecosse) et le Barça en finale, par 3 buts à deux. Récemment, le club s’est souvent qualifié en qualifications des différentes coupes européennes : en 2009, le club échoue en barrages de l’Europa League après un score cumulé de 7-1 en faveur de l’Ajax Amsterdam ; en 2010, ils perdent au même tour face à Stuttgart (3-2), en 2011, après avoir été éliminé au troisième tour de la Ligue des Champions par l’Apoel Nicosie (Chypre), les slovaques s’imposeront face à la Roma avec un score cumulé de 2-1. En phase de poule, ils retrouvent Bilbao, le PSG et … Salzbourg. Cette campagne ne sera pas vraiment une réussite puisqu’ils ne prendront qu’un seul point, suite à un match nul obtenu contre le PSG.

En 2012, Bratislava sortira de l’Europa League au second tour préliminaire face à Videoton (Hongrie), en 2013, ils quitteront la Ligue des Champions là encore au second tour, contre … Ludogorets. Cette fois, le Slovan a du se défaire de TNS (Pays de Galles), Tiraspol (Moldavie) avant d’affronter dans quelques jours le Bate Borisov (Biélorussie). Marek Hamsik, actuel joueur de Naples est passé par le Slovan plus jeune.
Le joueur à surveiller : Robert Vittek, sélectionné à 80 reprises en équipe nationale slovaque. Il est passé par Nuremberg, Lille (entre 2008 et 2010) et Trabzonspor. L’attaquant de 32 ans est toujours aussi efficace, pour preuve ses 12 buts lors de ses 17 apparitions avec le Slovan.

La suite demain avec cette fois ci, les potentiels petits nouveaux en Europa Ligue.

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Bonjour Pedro. Bon pour commencer, présente nous un peu ton parcours de footballeur.

Bonjour ! J’ai commencé le football tout jeune, dans un club à côté de Moulins, le club de Neuvy. Je suis ensuite parti pour Moulins puis, à l’âge de 13, j’ai été admis au centre de formation d’Auxerre où j’ai côtoyé Philippe Mexès. C’est en Bourgogne que j’ai signé mon premier contrat pro. mais je n’y ai joué aucun match. J’ai donc décidé de partir pour Clermont, où j’ai disputé une demie-saison. Puis j’ai été transféré à Châteauroux. Mon transfert a été étrange car le président était venu me voir en personne pour me faire signer, et quand je suis arrivé au club, l’entraîneur de l’époque, Victor Zvunka, ne me connaissait pas encore. Je n’étais pas forcément dans ses plans. J’avais pour souhait de retourner sur Clermont, pour me rapprocher de ma famille, j’ai donc été prêté 6 mois à Clermont avant de revenir sur Châteauroux où le club me jugeait comme un élément important. Je suis donc resté une saison complète dans l’Indre où le club finit 5eme. Mais je décide finalement de me lancer dans une nouvelle aventure, en partant en division 4 Italienne, à Legnano. Dès là deuxième année, je remporte le championnat. Je pense alors à partir mais finalement je reste une année de plus. L’année suivante, je pars sur Bari. L’entraîneur de l’époque, Antonio Conte (actuel Juve) m’a contacté et m’a demandé d’être présent le lendemain à l’entraînement. Le lendemain je me pointe. Avec son adjoint, il m’explique tout un tas de tactiques différentes propres au jeu italien. A là fin, il me demande si j’ai compris, je lui dis oui. L’après-midi, à l’entraînement, ça partait dans tout les sens, et moi, j’avais en fait rien compris. Au fur et à mesure du temps je parviens à trouver mes marques et lors de la première saison, je joue les fins de matchs, mais à chaque fois que je rentrais, il se passait un truc, les supporters commençaient à me connaître. L’année suivante, celui qui occupait mon poste est tombé malade. Je partais donc titulaire et j’étais vraiment stressé à cette idée. Finalement, je réussis un bon match (élu homme du match) et à partir de ce moment, Conte me fait confiance ; je joue beaucoup plus cette saison là et à la fin, on finit champion de Série B, la où personne nous attendait. Je fais alors une saison Série A au côté de la Juve, de l’Inter, de la Roma, du Milan AC. Puis je décide de retourner en Série B, dans une équipe très attendue pour la promotion en Série A : Sienne où je retrouve Conte. Le club remonte alors en Série A, mais je préfère rentrer en France. Je souhaite alors rentrer à l’AS Moulins mais je ne suis alors pas désiré et je vais donc faire une saison chez le voisin yzeurien : on fait une saison moyenne et le club ne me plaît pas franchement. Après une discussion avec le président de Moulins, je parviens finalement à être transféré de Yzeure à Moulins. Pour finir ma carrière ici !

Le club que tu auras préféré ?

Je dirais Bari et Moulins. Bari pour la ferveur. Le truc, c’est l’OM fois 10000 ! En plus, les gens m’aimaient bien là-bas, c’était impossible que je sorte sans qu’on me demande une photo, un autographe. Et Moulins pour le côté familial, Moulins c’est une bande de potes qui jouent au foot ensemble le week-end, et ça c’est super !

Ton meilleur moment passé à Moulins ? 

Je vais être original et je vais dire la qualification en Coupe face à Yzeure l’année dernière. Gagner un derby c’est bien. En Coupe c’est mieux ! En plus cette année là, on les a battus trois fois !

Comment avez-vous vécu la Coupe de France ses deux dernières années ?

On ne peut que la vivre bien ! T’as envie que ça arrive tout les week-end, surtout quand tu joues en CFA !

Pour revenir à l’Italie, on parle souvent de corruption. Tu confirmes ?

Sur le terrain, ça ne se voit pas forcément, mais quand tu analyses le match, tu te dis qu’il y a des choses pas nettes. En France aussi il y a ça : tu peux voir un mec qui fais un gros boulot pendant 10 journées de suite, et d’un coup, pour un match, plus rien. Après en France, il y a un autre moyen de corruption. Si il y a une équipe avec qui tu ne t’entends pas, tu feras tout pour les désavantager. Par exemple si le titre se jouait entre Epinal et Yzeure, on aurait peut-être été laxistes sur le match, question de rivalité.

Pourquoi avoir refait une saison de plus alors que tu pensais déjà arrêter l’année passée ?

J’avais un sentiment d’inachevé, je ne voulais pas finir sur cette note là.

Et pourquoi l’arrêt de ta carrière ?

J’étais fatigué mentalement, pas forcément physiquement. Passer près de 20 ans dans le foot à un niveau élevé, ça veut dire que pendant 20 ans, tu ne penses qu’au foot, et à pas grand chose d’autre. Donc ça fait du bien de décrocher.

As-tu quand même reçu des offres d’autres clubs ?

Oui, Vichy m’a proposé un contrat. Ils me proposaient un projet intéressant même sans vouloir rentrer dans les détails. Je me suis demandé si je pouvais remballer pour un an de plus, mais je me suis dit non finalement.

Que comptes-tu faire maintenant pour ta post-carrière ?

Déjà, partir en vacances. Je n’ai pas pu partir comme tout le monde en vacances étant jeune, parce que j’étais à Auxerre. Mais je compte bien faire profiter mes enfants. J’ai aussi plein de projets annoncés, mais ça, vous saurez en temps voulu ! De plus,’annonce que l’année prochaine je fais de l’athlétisme, du sprint, et je me fixerai de nouveaux objectifs. Pourquoi pas un titre de champion d’Allier ?!

Resteras-tu impliquer dans un club de foot ? 

Non, comme j’ai dit, j’ai eu suffisamment de foot comme ça durant ma carrière.

Qu’aimes-tu faire hors du foot ?

J’aime bien écouter de la musique, ou même aller au cinéma quand j’ai le temps.

Pour finir, qui aimerais-tu remercier ?

Tout mes formateurs déjà. Qu’ils m’aient plus ou non, ils ont tous eu quelque chose qui fait grandir un joueur. Après, j’ai trop de monde à remercier, surtout en vingt ans de carrière !

Merci beaucoup Pedro !

Merci beaucoup à toi aussi !

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